Un président qui dépasse largement le plafond des dépenses autorisées pour une campagne électorale. Ce n’est pas bien ! Il écope d’un an de prison ferme.
Un autre président, qui dans le cadre d’un début de campagne électorale, tape subrepticement dans les caisses de l’État pour séduire une partie de ses futurs électeurs. Ce n’est pas bien non plus.
De la part du second : est-ce du mimétisme, l’apanage du pouvoir, une forme d’inconscience ou les trois réunis ?
Vous souhaitez vous aussi commenter l'actualité de votre profession dans le « Quotidien du Médecin » ? Adressez vos contributions à jean.paillard@lequotidiendumedecin.fr .
Débat sur la fin de vie : qu’allons-nous enseigner ?
Obésité : un constat alarmant
Un système au bord du précipice
Six ans, c’était suffisant ?