Un effet de la générication : le déclin de blockbusters

Publié le 03/06/2013
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Tahor®, premier médicament de ville remboursé en 2010 et 2011 (470 millions d’euros), rétrograde à la septième place du classement avec une chute de près de 50 % en montants. En cause : sa générication en mai 2012, à l’origine d’une économie de 115 millions d’euros.

Deuxième produit remboursé en 2010, Inexium® chute à la 37e place du classement en 2012, avec un différentiel de plus de 235 millions d’euros sur deux ans.

Plavix® enfin figure désormais à la 21e place des médicaments de ville remboursés (302 millions d’euros avec ses génériques), alors que ce médicament était en pole position en 2009 avec 559 millions d’euros.


Source : Le Quotidien du Médecin: 9247