« Les femmes peuvent être victimes de violence à cause de leur sexe. Certains types de violence, en particulier la violence domestique, touchent les femmes de manière disproportionnée » : c’est ce que précise la convention européenne d’Istanbul ouverte en 2011 et entrée en vigueur depuis le 1er août 2014, soulignant qu’il s’agit d’une violation des droits humains (désignée aussi sous le terme de féminicide).
Ce phénomène est massif (30 % des femmes selon l’OMS). En France, tous les trois jours une femme est tuée par son conjoint, 20 % sont victimes d’agressions sexuelles. Les enfants sont aussi pris pour cibles (33 décès en 2013). Ces chiffres ne doivent pas occulter une réalité bien plus chronique, dont les conséquences cliniques, d’ordre psychologique et physique, sont importantes : le nombre de suicides chez les femmes victimes de violences est multiplié par 4,5 ; on relève chez elles deux fois plus de dépressions, de consommation d’alcool et des troubles émotionnels notamment.
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