Dans la nuit du 2 au 3 septembre, la petite ville s’est retrouvée au cœur des combats, subissant des bombardements. Anton, chirurgien volontaire originaire de Kiev, en est encore bouleversé : « Les maisons juste en face de l’hôpital ont été touchées. Dès que nous avons entendu les premières explosions, nous nous sommes précipités dans la cave, avec les patients. Vers minuit, les tirs ont redoublé d’intensité dans la rue principale et se sont rapprochés de l’hôpital. Puis nous avons profité parfois de quelques accalmies pour aller chercher le matériel restant et le descendre en bas. Nous sommes restés comme cela jusqu’au lendemain matin. C’était interminable. »
L’hôpital n’a pas subi trop de dégâts hormis les fenêtres soufflées. Les bombes sont tombées juste à côté du bâtiment.
Les fongémies liées aux injections de drogues, un tableau clinique particulier
Microbiote : mieux informés, des Français à mobiliser pour la recherche
La dérivation biliaire du bypass gastrique Roux-en-Y protège du cancer colorectal
L’instabilité chromosomique pourrait prédire la réponse à la chimiothérapie