À la suite du rapport de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), qui met le doigt sur les nombreux effets indésirables qui entourent les actes à visée esthétique (épilation, lipolyse), la Direction générale de la santé (DGS) lance une réflexion pour mieux encadrer ces techniques et prévenir leurs effets secondaires.
Cette réflexion, qui vise à sécuriser ces techniques, sera menée en lien avec la Direction générale du travail (DGT) et la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), précise la DGS. Les trois instances étaient déjà à l'origine de la saisine de l'ANSES, en 2012.
Les conclusions sont attendues à la fin de l'année 2017. Elles porteront sur les appareils, en se concentrant sur les dispositions du futur règlement européen relatif aux dispositifs médicaux, ainsi que sur la qualification et la formation des professionnels autorisés à pratiquer ces actes, dans la droite ligne des recommandations de l'ANSES.
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