Le sang des règles contient des cellules souches, véritable trésor cellulaire qui permettent le renouvellement des cellules de l'endomètre. Des banques de cellules souches endométriales existent déjà pour stocker des cellules régénératrices. Ainsi le sang des règles ne serait pas que négatif.
Elise Thiébaut écrivaine féministe remonte l'Histoire les traditions qui vont de la gifle à donner à la jeune fille qui a ses premières règles, à l'impureté qui entoure la femme à cette période qui va se renouveler 400 fois dans sa vie .
Le culte d'Artémis ou le sanctuaire de Brauron où était déposé les tissus imprégnés des premières règles montre la force des croyances qui ont toujours existé.
Lorsque la marathonienne Kiran Gandhi décide de courir sans protections périodiques aux yeux de tous c'est la révolte sur les réseaux sociaux. Ainsi montrer ses menstruations est comme revendiquer ses odeurs personnelles sans vouloir masquer ou effacer cette part intime.
On passe des tampons aux serviettes aux éponges aux culottes aux coupes menstruelle réutilisables ou jetables mais le syndrome du choc toxique dû à des staphylocoques dorés a entrainé 19 cas en 2011 et 22 cas en 2014.
Ne pas garder ses protections plus de 8 h au contact des muqueuses, certes mais pourquoi la constitution des tampons n'est-elle pas connue?
Cette omerta amène certaines femmes à pratiquer le flux instinctif libre pour éviter un contact qui totalise plus de 60000 h au cours d'une vie de femme.
Écoutez l'émission :
Elise Thiébaut écrivaine féministe remonte l'Histoire les traditions qui vont de la gifle à donner à la jeune fille qui a ses premières règles, à l'impureté qui entoure la femme à cette période qui va se renouveler 400 fois dans sa vie .
Le culte d'Artémis ou le sanctuaire de Brauron où était déposé les tissus imprégnés des premières règles montre la force des croyances qui ont toujours existé.
Lorsque la marathonienne Kiran Gandhi décide de courir sans protections périodiques aux yeux de tous c'est la révolte sur les réseaux sociaux. Ainsi montrer ses menstruations est comme revendiquer ses odeurs personnelles sans vouloir masquer ou effacer cette part intime.
On passe des tampons aux serviettes aux éponges aux culottes aux coupes menstruelle réutilisables ou jetables mais le syndrome du choc toxique dû à des staphylocoques dorés a entrainé 19 cas en 2011 et 22 cas en 2014.
Ne pas garder ses protections plus de 8 h au contact des muqueuses, certes mais pourquoi la constitution des tampons n'est-elle pas connue?
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