Un enseignant de Nanterre (Hauts-de-Seine), qui réclame le démantèlement d’antennes-relais situées sur le toit de son lycée, a porté plainte contre X au pénal, estimant que les ondes émises peuvent constituer un risque sanitaire. Le niveau des champs électromagnétiques relevés près du gymnase du lycée Joliot-Curie pourrait « provoquer des dysfonctionnements d’appareils tels que des défibrillateurs ou des pacemakers » et constituer « un danger pour les élèves et personnels du lycée » a affirmé à l’AFP le professeur Frédéric Bailleux. Selon lui, sept autres enseignants du lycée auraient porté plainte.
« Les niveaux d’exposition sont faibles et tout à fait conformes à la réglementation », a pour sa part assuré Jean-Philippe Desreumaux, directeur de fréquences et protection chez Bouygues Telecom.
En 2008, le tribunal de grande instance de Nanterre avait condamné Bouygues Telecom à démonter une antenne-relais à Tassin-La-Demi-Lune (Rhône) pour « risque potentiel sur la santé ».
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