Compte tenu du risque accru de maladie thrombo-embolique veineuse sous pilule de troisième ou quatrième génération, la contraception d’une femme acnéique repose en première intention sur le lévonorgestrel et en seconde intention sur le norgestimate.
Les traitements hormonaux à base d'acétate de cyprotérone (Diane 35 et ses génériques) peuvent être envisagés en troisième intention, en cas de persistance de l’acné malgré un traitement bien conduit et en tenant compte du risque thrombo-embolique individuel de la patiente. Ils ne doivent pas être associés à l'isotrétinoïne.
Les statines semblent améliorer la survie dans deux cancers du sang
Estro 2025 : du nouveau pour la désescalade en radiothérapie
Le taux de micro/nanoplastiques dans l’athérome carotidien est associé à la sévérité des symptômes
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés