L’étude PROGRESS a montré que l’association de lopinavir/ritonavir + raltégravir (LP/r + RAL) est aussi efficace que l’association triple standard LP/r + ténofovir + emtricitabine. D’après des résultats à 96 semaines présentés par le Dr Laurent Cotte (Lyon)*, cette bithérapie a une tolérance similaire à la trithérapie, « tout en étant associée à un moindre impact sur la densité minérale osseuse et le débit de filtration glomérulaire estimé ».
* Cotte L et al. Médecine et maladies infectieuses 212 ; 42 : 12.
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
Dès 60 ans, la perte de l’odorat est associée à une hausse de la mortalité
Troubles du neurodéveloppement : les outils diagnostiques à intégrer en pratique
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque