« Si j'ai besoin d'un secrétaire d'État, j'en ferai part au président de la République et au Premier ministre… » Agnès Buzyn a finalement été entendue. En dépit des rumeurs insistantes, le mini-remaniement de vendredi soir ne s’est pas traduit par l’arrivée d’un adjoint à la santé pour l’actuelle ministre. A priori, elle sort donc renforcée de cette séquence, puisque son souhait a été exaucé. D’un autre côté, l’ancienne patronne de la HAS va devoir continuer à gérer seule un département aux frontières étendues, puisqu’outre la santé, elle gère la politique familiale et les retraites. Un « empire » aux contours aussi vastes que celui de Marisol Touraine, sauf cette dernière pouvait compter alors sur trois fois plus de collaborateurs et était épaulée par deux à trois secrétaires d’État. Autant dire que pour Agnès Buzyn en première ligne, le risque d’exposition est maximal.
En première ligne
Par
Publié le 27/11/2017
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du médecin: 9622
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir
La justice ordonne la prise en charge des soins chirurgicaux d’une transition de genre
Fin de vie : Macron évoque un référendum en cas d’enlisement des débats parlementaires
Fin de vie : Catherine Vautrin promet d’encadrer strictement l’aide à mourir, le gouvernement reste divisé