Gain de lits, baisse du coût global de prise en charge (hôtellerie, médicaments), effectifs réduits… La RRAC est source d’économies pour les établissements, au terme du déploiement du programme. Selon une étude* menée dans cinq services de chirurgie des Hôpitaux civils de Lyon (HCL), l’application d’un protocole de RRAC peut procurer 202 000 euros par an. Sur les sept actes sélectionnés (colectomie, pancréas, foie, hanche, genou, prostatectomie, suspension vésicale), le gain est estimé entre 2 340 et 3 200 journées/lit, dont 810 pour la hanche et 600 pour le genou.
* « La Presse médicale », juillet 2014
À Gaza, le chaos laisse peu de place aux soins psychiques
Enfants de la guerre et psychotrauma : carnets de bord de spécialistes français
Fin de vie : l’Académie de médecine réitère son opposition à l’euthanasie
Un médecin sur trois déclare avoir été sujet à l’épuisement professionnel, selon une étude Odoxa-MNH