Nous vivons de drôles de temps :
On indemnise les « victimes » d’effets secondaires d’un vaccin sans lien prouvé (hépatite B et débat en cours sur le Gardasil).
On compare l’affaire du Mediator (dont nous ne savons toujours pas le nombre réel de morts) avec celle du Gardasil… (une jeune femme victime d’une SEP attaque à grand bruit le Gardasil à qui elle attribue sans preuves la cause de sa maladie).
On donne la parole (sur toutes les ondes et les grands médias) au père de la « victime » qui explique combien elle était heureuse avant qu’on la vaccine…
Personne n’évoque les 3 000 cancers utérins et les 1 000 morts évités chaque année par le vaccin.
Les revanchards du « pouvoir médical » et les lobbies anti-vaccins se déchaînent.
Les juges attribuent des indemnisations à des patients victimes d’affections sans liens prouvés avec le médicament ou le vaccin en cause et parlent de « vérité judiciaire » opposée à la « vérité scientifique ».
Des « patients » non malades attaquent l’État en réclamant des indemnisations pour l’angoisse ressentie à l’idée qu’ils pourraient être malades…
À quand l’obligation de traiter, pour les médecins, des affections non déclarées mais toujours possibles ?
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