- Le risque lié à la « tentation de privilégier l’élimination anténatale plutôt que la recherche des moyens de guérir les maladies ». Pour le CCNE, le financement de la recherche publique constitue « une alternative à une dérive pseudo-préventive qui ne peut aboutir qu’à alimenter les perceptions stigmatisantes des personnes handicapées ».
- Le risque de voir se multiplier des « situations génératrices d’anxiété, des arrêts de grossesse précipités et inappropriés du fait des progrès des techniques diagnostiques et de l’identification chez l’embryon à un stade précoce d’un grand nombre de marqueurs de susceptibilité à des maladies fréquentes. La précocité du diagnostic réalisé sur le sang de la femme enceinte, si elle présente l’avantage d’éviter les pertes ftales induites par les prélèvements, comporte le risque d’induire des décisions hâtives. »
- Le risque lié à la perte de confidentialité des données biologiques d’un tiers (futur enfant ou conjoint indirectement) pourrait augmenter avec « l’extension des examens pangénomes explorant des gènes mulitples et délivrant sur l’enfant des informations qui n’ont pas d’intérêt direct pour sa santé ».
54 % des médecins femmes ont été victimes de violences sexistes et sexuelles, selon une enquête de l’Ordre
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