« Dès qu’on fait une gastrostomie, on entre dans une dimension thérapeutique, équivalente à celle de l’assistance respiratoire. Or on accepte très bien l’arrêt de cette dernière (sans dire que le patient s’étouffe), mais on tolère mal l’arrêt de l’AHA parce qu’on a l’impression de laisser le patient mourir de faim et de soif (ce qui est une ineptie) », constate Jean Leonetti.
Cette dimension symbolique, fantasmatique, conduit à des pratiques hétérogènes sur le territoire.
À Gaza, le chaos laisse peu de place aux soins psychiques
Enfants de la guerre et psychotrauma : carnets de bord de spécialistes français
Fin de vie : l’Académie de médecine réitère son opposition à l’euthanasie
Un médecin sur trois déclare avoir été sujet à l’épuisement professionnel, selon une étude Odoxa-MNH