J'ai lu avec intérêt la lettre du Professeur Masseyef (« Euthanasie : j'envie la Suisse ! », Le QdM du 12/11/2019) que j'ai connu à Nice, où j'ai exercé la cardiologie, en libéral et à l'hôpital, durant 30 ans. Je comprends sa réflexion sur l'euthanasie volontaire ; peut-être la partagerai-je… Mais dans une époque de bouleversements de la société, légiférer sur l'euthanasie n'ouvrirait-elle pas la porte à des nombreuses dérives, que nous n'imaginons peut-être pas. Comme la fin de vie, c'est un problème qui doit se régler dans l'intimité, entre « quatre yeux ».
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