C'est un sujet dont on ne parle pas. "Certains CHU de l’Est de la France ont dû réaliser des césariennes bien avant le terme chez des patientes en détresse respiratoire aigue", alerte au nom de l'Isni les internes en gynécologie-obstétrique. Illustration du fait que certaines femmes attendent trop longtemps ou tout simplement n'osent pas venir consulter aux urgences gynécologiques. Et de rappeler les violences faites aux femmes : "La situation est explosive avec une recrudescence importante des violences intra conjugales. Les patientes peuvent se confier à nous et nous faire confiance pour que nous puissions les aider lors de leurs consultations en gynécologie. Nous sommes persuadés que toutes n’osent pas parler." Sur ce sujet, l'Isni a publié une fiche pratique pour le dépistage des violences faites aux femmes destinées aux gynécologues en formation.
Brève
Femmes violentées/enceintes infectées par le Covid-19, l'Isni tire sur la sonnette d'alarme
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Publié le 07/04/2020
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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