Le symbolisme religieux se retrouve jusque dans le nombre des malades fixé à 33 comme les années de la vie du Christ : 11 vieillards, 11 enfants, 11 femmes. Les voûtes sont très hautes en plein cintre avec des fenêtres en hauteur pour mieux évacuer l'air vicié et les miasmes invisibles.
Au programme de la visite : la chapelle, une salle des malades reconstituée, une salle d'exposition thématique consacré au XIXe siècle avec la découverte de l'anesthésie, de l'asepsie et de la radiologie et une salle consacrée à l'art dentaire avec trois cabinet dentaires reconstitués de 1870 à nos jours ainsi qu'un laboratoire de prothésiste dentaire.
L'histoire de l'hospice est mal connue car les archives ont disparu. Confié aux sœurs de la charité de Nevers en 1747, il recueillait les enfants abandonnés que l'on déposait dans son tour, en fonctionnement de 1790 à 1847. En 1914, il reprendra du service comme hôpital militaire pour les convalescents. Les sœurs le quittèrent définitivement en 1995. Il a fait l'objet d'une campagne de restauration. Un jardin de plantes médicinales de 30 à 40 espèces doit être créé en collaboration avec la municipalité et les laboratoires Pierre Fabre. L'association de Muséographie médicale chargée de l'animation organise régulièrement des expositions temporaires.
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