En tant que médecin généraliste, je m'inquiète de la condamnation française de l'olmesartan, un médicament efficace et particulièrement bien toléré sous le prétexte d'un effet indésirable « très rare».
Avec ce seul motif, on pourrait supprimer la moitié des médicaments du Vidal ce qui m'amène à douter de la partialité scientifique de la Haute Autorité de santé dans cette décision.
La cancérogénicité du glyphosate se confirme chez le rat
Implant Nexplanon : de nouvelles recos de l’ANSM en cas de migration
Santé sexuelle à l’ère du numérique : des opportunités à saisir
Covid long : la physiopathologie est polymorphique chez les patients non hospitalisés