Alertée en mars dernier sur le risque potentiel de pancréatites et de métaplasies des canaux pancréatiques chez les DT2 sous agonistes du GLP-1 et inhibiteurs de la DPP-4, l’autorité de santé européenne, l’EMEA vient de réfuter toute augmentation du risque du fait de l'absence de preuve. Il n’en reste pas moins que par précaution, il est préférable de ne pas utiliser ces classes médicamenteuses chez des malades aux antécédents de pancréatite aiguë.
Les incrétines dédouanées
Publié le 20/09/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Cancer colorectal chez les plus de 70 ans : quels bénéfices à une prise en charge gériatrique en périopératoire ?
Un traitement court de 6 ou 9 mois efficace contre la tuberculose multirésistante
Regret post-vasectomie : la vasovasostomie, une alternative à l’AMP
Vers un plan Maladies rénales ? Le think tank UC2m met en avant le dépistage précoce