En 2020, malgré les confinements et la baisse d’activité due au Covid, 82 pays des 106 étudiés par la société suisse IQAir et Greenpeace, soit plus des trois quarts, ont connu en 2020 une pollution excessive aux microparticules, au-delà du seuil fixé par l’OMS et responsable de nombreux décès prématurés. Le changement climatique continue d’affecter la qualité de l’air. Et si 84 % des pays ont connu une baisse des niveaux de pollution, l’air est loin d’être sain. L’Asie du Sud et de l’Est est particulièrement touchée. Le Bangladesh, l’Inde et le Pakistan concentrent 42 des 50 villes les plus polluées au monde. Aux États-Unis qui ont connu de gigantesques incendies en Californie, la pollution aux particules fines a augmenté de 6,7 % en 2020.
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Publié le 26/03/2021
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Source : Le Quotidien du médecin