La Haute Autorité de santé (HAS) actualise les recommandations de 2011 sur les cas de bébé secoué. La nouvelle mouture des recommandations signale que « plusieurs centaines d’enfants (en) sont victimes chaque année en France », et qu’une « notion récente est la répétition des épisodes de secouement dans la majorité des cas », soulignant que « la méconnaissance du diagnostic (...) expose au risque de récidive et donc de séquelles persistantes ou de décès ». D’où l’intérêt pour les professionnels de santé de savoir quand évoquer un traumatisme crânien non accidentel.
Concernant les suites à apporter, la HAS rappelle que « le signalement doit être fait sans retard » et insiste sur le fait que « le signalement ne doit pas nommément mettre en cause ou viser une personne » ni « inclure d’élément de datation des lésions ».
Grossesse : la prise des antiépileptiques à risque avéré baisse, mais vigilance sur le report
Congrès IAS 2025 : les Français très présents dans la recherche sur le VIH
L’ONU et une centaine d’ONG alertent sur la famine à Gaza
Le gouvernement veut faire du sommeil un pilier de santé publique